Henry VIII arriving.
A nobleman eating, while another courtier has already had a bit too much wine.
A joust, showing each King with their respective Queen.
A wrestling match, probably representing the one between Henry VIII and Francois I.
Le Président de l'Association Monsieur Jean - Paul Perrier fait le discours d'inauguration entouré par la Trésorière adjointe Madame Dorne , le Trésorier Monsieur Gilbert Chanut , la Secrétaire Madame Nicole Clauzel et le Secrétaire adjoint Monsieur Alain Margirier .
Au premier rang les Présidents d'honneur Messieurs Maurice Bresson Professeur de littérature et
René Violette Professeur agrégé de Philosophie
VV
Le Cercle en villègiature à Antraigues sur Volane
Debout les parpaillots
du balai la curaille!!!
vvv
Jean Cavalier
v
Viens noir corbeau Satan t'attend !!!
Cliquez sur les titres
Nos Ecoles primaires
Nos Ecoles secondaires
- LA BELLE EQUIPE
- MONSIEUR JEAN PALMERO
-
- L'ECOLENORMALE
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-
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- BAHUT EXPO 2005
- DEBOUTS LES PARPAILLOTS !!!
D'ABRIGEON "MY TRAVELS" 
A FRENCH EXPLAINSTHE CRICKET!!
LE PALAIS SANS PAREIL 
ANNE BOYLEN THE QUEEN FOR EVER
MARY STEWART REINE D'ECOSSE 
THAT'S SCOTLAND !!! 
WELCOME TO EDINBURGH 
SIR WINSTON CHURCHILL
- ANTRAIGUES SUR VOLANE
- MADAME TERRISSE D'ANTRAIGUES
ANTRAIGUES TOUJOURS LA BELLE ? 
EMMANUEL COMTE D'ANTRAIGUES
- BERNARD MAIRE D'ANTRAIGUES
ANTRAIGUES LA REMISE
JEANNOT D'ANTRAIGUES
PAUL MAZADE D'ANTRAIGUES
- MONSIEUR ROGER CROUZET
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MONSIEUR JEAN TIRMAN 
MONSIEUR RENE VIOLETTE
MONSIEUR FERNAND BOURRET
MONSIEUR DOMEYSEL
MONSIEUR GUY SEGOL
MONSIEUR ROBERT MONCLAR
MONSIEUR CHRISTIAN ORJAS
MONSIEUR JACQUES CHAMPANHET
JAMBOREE CROUZET MONCLAR
- LE BLOCKHAUS DE LA GARE PRIVAS
LES ABEILLES DE ROCHESSAUVE LES MASSACRES AMERICAINS
DOCTEUR VON BRAUN LA VERITE L'AUBERGE DE PEYREBEILLE
DE LA TERRE A LA LUNE - LES HONTES AMERICAINES MONSIEUR PAUL ELUARD MONSIEUR ALAIN COSTE DES MINES
- 2001 MONTEE DU MOULIN A VENT
LES VIKINGS LA BRÜLURE DE L'HISTOIRE - LES ABEILLES DE ROCHESSAUVE PRIVAS LA VOIE VERTE A L'ENCRE VIOLETTE LE VELO
- MONSIEUR RENE PRIVAT
- THE BRITISH AND IRISH LIONS
LE QUINZE D'ECOSSE
LE RUGBY LE SPORT ROI LE SPORT ROI NOTRE RUGBY LE QUINZE DE FRANCE NOTRE RUGBY BRITISH AND IRISH RUGBY LIONS LE PLUS GRAND MATCH DE L'HISTOIRE LES ALL BLACKS LE QUINZE D'ECOSSE LE QUINZE DE GALLES LES WALLABIES LE QUINZE DE LA ROSE 
LE QUINZE DE FRANCE 
LE QUINZE D'IRLANDE LE QUINZE DES SPRINGBOCKS 
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- PRIVAS MARECHAL NOUS VOILA! PRIVAS D'AVANT ET D'AUJOURDHUI
Nos écoles de Privas se retrouvent ...
" Ce n'est qu'un au revoir "
" Le bon vieux temps "
v
v
Nos professeurs
Monsieur Jean Palmero
Directeur de l'Ecole Normale de Privas
Député de l'Ardèche
Monsieur Jean Oisel
Professeur des Sciences physiques au Collège classique
Chevalier de la lègion d'honneur à titre universitaire
Monsieur Domeysel
professeur de Lettres au Collège classique
Maire de Sainte Elèmie
Monsieur André Violette
Professeur agrégé de philosophie à l'Ecole Normale de Privas Vice président de l'université de Nantes Président d'honneur du Cercle des Elèves et des Professeurs
Monsieur Maurice Duny
Professeur agrégé de littérature au lycée Champolion Elève du Collège classique de Privas Président d'honneur du Cercle des Elèves et des Professeurs
Monsieur Jean Faivre
Professeur de philosophie au Collège classique de Privas
Monsieur Jean Tirman
Professeur d'éducation physique à l'Ecole Normale de Privas
Madame Guépin
Professeur d'Allemand au Collège classique de Privas
Monsieur Roger Crouzet
Professeur d'éducation physique au Collège classique
Monsieur André Jameux
Professeur de mathématiques au Collège classique
Our dearest Scotland
................................................
...............................
.
Ella Roberts
" The Bonnie banks of Loch Lomond "
Jean - François Perret
Le véritable ècrivain de Privas ...
Monsieur Jean - François Perret fut longtemps le correspondant du Dauphiné libéré à Privas .
................................
Par ses études , sa culture , son honneteté intellectuelle et la qualité de son écriture il est bien notre écrivain privadois .
v
Nos écoles de Privas se retrouvent ...
Nos filles de France
Allez les petites !!!
La Rose et le Réséda 
A Gabriel Péri comme à 'Estienne d'Orves comme à Guy Môquet et Gilbert Dru . Celui qui croyait au ciel . Celui qui n'y croyait pas .
Le Cours Complémentaire de garçons
" Les invincibles "
Au poulailler : Messieurs Vialle P Noharet Amblard Godet Croze Deval Bernard Fraisse Silhol
Au balcon : Messieurs Mounier Germain Fourniol Alissas Bouix Bourrel Estéoule Bouchet Chanut Perrier Rieu
Au rez de chaussée : Messieurs Clair Curinier Bouvier Oriol Jounel Mouton Ruffiè Morand Feschet Vialle D
A la cave : Messieurs Boniface Astier Berthaut Bascou Prinsac Lopez Comboroure Pernet Michel
V
Photo Monsieur Jean Oisel professeur des sciences physiques au Collège classique
Le chemin de nos écoles
Les chemins de leurs Ecoles ...
Réalisation Jean - Paul Perrier
Alain Lesbros 
notre camarade du Bahut nous a transmis l'adresse du " Daily Geek Show " qui a diffusé sur le Web les photos des chemins les plus périlleux que les enfants du monde empruntent pour aller à l'école au risque de leur vie . La vue de ces enfants bravant le danger pour acquérir le savoir doit nous faire méditer ... leurs pays ne font pas partie de nos " démocraties idéales occidentales " prêtes à dispenser des leçons de culture et de liberté au monde entier mais ils donnent à leurs enfants ces lieux où tout commence : les Ecoles ; et parfois , souvent méme , c'est au prix de beaucoup de risques pour ces " chéres têtes " qui ne sont pas souvent blondes .
Nous te remercions chaleureusement Alain
Amitiés Jean - Paul
Monsieur Jean Palmero
Monsieur Jean Palmèro (1912-1999)
Directeur de l'Ecole Normale
Député de l'Ardèche
Evoquer jean Palméro, huit ans après sa mort, demeure pour moi bonheur et tristesse. Bonheur, parce que partout où il est passé, cet homme a rayonné par l'élégance de l'attitude, de la pensée, de l'action et qu'il est émouvant de le rappeler. Tristesse - et j'en parle à titre personnel - parce qu'après m'avoir tant d'années accordé son amitié, il est mort alors que j'étais depuis quelques jours très loin de Paris, le 15 janvier 1999, et que je n'ai pas pu l'accompagner au cimetière parisien d'Ivry.
Quiconque l'a connu à l'E.N. de Privas ne peut l'oublier. Ce regard pénétrant de Méditerranéen, cette voix brève, persuasive, cette confiance qu'il témoignait à chacun d'entre nous, cette façon de rendre responsables de leur vie des adolescents tout juste sortis du B.E.P.C., cette constante fermeté dans les idéaux républicains et démocratiques, cette constance dans la fidélité aux Associations départementales des Causes Laïques, sans compter son expérience de parlementaire attaché à la souveraineté du peuple, cela fait de lui un directeur d'Ecole Normale d'une exceptionnelle dimension. Comme il nous respectait éminemment en nous chargeant de la formation des enfants que nous aurions un jour à éduquer, nous lui rendions aisément cette considération. Pas une prestation de la « Belle Equipe » dans le département sans qu'il y fût; pas une manifestation à caractère social ou mutualiste, en Ardèche, sans qu'il y participât. Il est resté toute sa vie un militant dont la caractéristique principale est, à coup sûr, la dignité.
Je vins à Paris en 1968-69, effectuer un stage d'une année à St Cloud. Il attendait ma visite qui ne tarda pas. Quittant Paris et mettant de côté son passage au Palais Bourbon sous les couleurs socialistes, il avait pris la direction de l'E.N. de Troyes. Mais, pour favoriser les études de sa fille Danielle, il avait ensuite opté pour un poste d'I.D.E.N à Paris. Il recevait, soit dans l'appartement qu'il occupait rue des Laitières à Vincennes, en compagnie de Mme Palméro et de Danielle, soit, un peu plus tard, dans son bureau de la rue de Picpus. (XIIe arrondissement). Il était un conseiller hors pair pour le débutant - dans une nouvelle fonction - que j'étais et j'ai pu mesurer alors l'attachement que lui portaient les enseignants de sa circonscription, une circonscription qu'il arpentait de son pas décidé, avec sa gravité souriante et le souci de comprendre et d'être compris. Il faisait souvent allusion à ses origines ouvrières pour justifier son propre appétit de justice sociale et sa confiance, en ce sens, dans l'efficacité du système scolaire. Ses qualités de pédagogue et sa grande humanité furent mises en relief lors de la cérémonie du départ à la retraite à la mairie du XIIe arrondissement; j'y assistais,,, un peu dépité de n'avoir pas à m'exprimer sur le Directeur d'Ecole Normale qu'il avait été dans le passé, mais on fêtait le fonctionnaire parisien.
Il avait quitté Vincennes pour venir demeurer dans le XVe arrondissement, rue Franquet. La mort brutale de sa fille unique en 1988 le frappa de plein fouet. La force de caractère bien connue lui donna le courage de veiller sur la scolarité de sa petite-fille Vanessa dont l'affection ne lui manqua jamais. Je garde le souvenir de ce couple charmant que j'aimais côtoyer et qui vint assister à mon propre départ en retraite à l'Ecole Normale de Livry-Gargan (Seine Saint-Denis) en juin 1991
28 juin 1991 - De gauche à droite : M. Vincent, Maire de Livry-Gargan, Robert Coudert, Jean Palméro, assis, appuyé sur sa canne. Mme Soulier Principale du Collège et maire adjointe de Livry-Gargan.
Dans les années 1990, les problèmes de locomotion l'obligèrent à limiter ses déplacements : la hanche le faisait souffrir. Nous avions l'habitude de nous retrouver à « La Chope d'Alsace », place de l'Odéon où nous déjeunions joyeusement. Il y venait par métro et moi par R.E.R. Un mercredi, à midi et demie il n'était pas encore là ; je le vis monter avec peine les marches de la station et je compris qu'une page se tournait, qu'il entrait dans un âge où sa liberté d'existence était menacée. Nos entretiens devinrent téléphoniques, car il répugnait à faire montre de ses difficultés de santé. J'ai sous les yeux un mot laconique de lui, peu avant l'échéance : « /... / ma santé n'est pas brillante mais je fais avec. » C'est bien cela, il a toujours «fait avec», aux temps du bonheur, sans en tirer gloire, comme aux moments où le courage s'imposait.
Comme beaucoup d'enseignants, j'avais acheté en 1958 l'«Histoire des Institutions et des Doctrines Pédagogiques par les textes» (Sudel). Ce précieux livre, « né de son absence » comme il l'écrit dans l'avant-propos. Il y a là une mine d'informations classées, commentées avec une précision sans égale, depuis l'enseignement dans la Grèce Antique jusqu'au mouvement d' "Education Nouvelle". Ce livre est tout Jean Palméro : Ne rien avancer qui ne soit corroboré par des documents, des événements, des points de vue de pédagogues : l'intégrité jusqu'au bout. On n'aura garde d'oublier que sa formation universitaire fut littéraire et philosophique. Devenu Docteur es-lettres, il avait publié en 1955, en collaboration avec Simon Lantieri, professeur de philosophie au Lycée de Valence, la « Philosophie par les textes », deux tomes parus chez Sudel, préfacé par Gustave Monot, directeur général de l'enseignement du second degré. Là, déjà, les développements des auteurs s'appuyaient sur des écrits authentiques. S'y exprime le souci pédagogique d'ouvrir le lycéen, l'étudiant, à la connaissance des théories philosophiques, sociologiques les plus récentes, d'insister sur l'éducation de la volonté, sur l'intérêt des grandes doctrines de la vie morale, sur l'idée de responsabilité, de communauté, sur l'évolution du concept de démocratie. Commentateur lucide des philosophes, des grands pédagogues, Jean Palméro n'a jamais cessé d'apparaître comme un moraliste de l'éducation.
Nul doute qu'il a passé à Privas ses meilleures années - où il avait alors tout loisir de voir sa délicieuse fillette, Danielle, virevolter dans les jardins de l'E.N. - Il me l'a dit et redit.
Il me savait proche du couple LEGENDRE (M. Legendre était - fait du hasard - Inspecteur d'Académie dans le Val d'Oise où j'exerçais après avoir été, vingt ans plus tôt, mon professeur de français à l'E.N. de Privas) et il me chargeait de messages à son intention, et vice-versa. A ce jour je reste le seul élément vivant du quatuor d'ex-Ardéchois exilés à Paris...
Il était bien temps de témoigner.
Robert COUDERT
Promotion 1951-55
E.N. De Privas
Nos Ecoles
Monsieur Fernand Bourret
Elève et professeur des écoles de Privas
L'école primaire de Lancelot
L'Ecole Annexe de Bésignolles
Lécole primaire du Champ de Mars
L'école Annexe de la Recluse
L'Ecole primaire du Montoulon
Ecole primaire de Paste
Nos Ecoles Secondaires
Le Collège moderne , le " CM "
L'Ecole Normale de filles
Le Cours Complémentaire de garçons
" Les invincibles "
Au poulailler : Messieurs Vialle Noharet Amblard Godet Croze Deval Bernard Fraisse Silhol
Au balcon : Messieurs Mounier Germain Fourniol Alissas Bouix Bourrel Estéoule Bouchet Chanut Perrier Rieu
Au rez de chaussée : Messieurs Clair Curinier Chomérac Oriol Jounel Mouton Ruffiè Morand Fescher Vialle
A la cave : Messieurs Boniface Astier Berthaut Bascou Prinsac Lopez Comboroure Pernet Michel
Nos enseignants
Monsieur Louis Néel
Elève du Collège classique de Privas
Prix Nobel de Physique
Monsieur Jean Palmero
Directeur de l'Ecole normale de Privas
Député de l'Ardèche
Monsieur Jean Oisel
Professeur des Sciences physiques au Collège classique
Chevalier de la Légion d'Honneur à titre universitaire
Monsieur René Violette
Agrégé de philosophie
Co - Président du Cercle
Monsieur Maurice Duny
Agrégé de littérature
Co - Président du Cercle
Monsieur Jean Faivre
Professeur de Philosophie au Collège classique
Humaniste
Monsieur Jean Tirman
Professeur d'Education physique à l'E.N de Privas
Humaniste
Monsieur Roger Crouzet
Professeur d'Education physique au Collège classique de Privas
Humaniste
v
Madame Hélène Terrisse
Institutrice à Antraigues sur Volane
La Culture de son village
Monsieur Fernand Bourret
Instituteur à Privas
Historien de la chorale " La Belle équipe "
La " Belle équipe " de l'Ecole Normale de Privas
Monsieur Guy Segol
Elève du Collège classique
Directeur du Cours complèmentaire du Cheylard
Monsieur Domeizel
Professeur de Lettres au Collège classique
Monsieur André Jameux
Professeur de mathèmatiques au Collège classique
coule ma rivière..."
Par Jean - Paul Perrier 
" Ce dimanche matin de Mai j'étais venu dire bonjour à Annabelle
sur la place du Foiral où elle dirige chaque mois , avec gentillesse mais fermeté , le déroulement de " son " marché aux puces .
Nous avions pris place à la terrasse d'un bar , elle pour déguster un café moi je l'avoue pour profiter de sa compagnie ; ce n'est pas que je déteste l'arôme d'un " robusta " mais Belle est tellement plus attachante et si jolie ...
Sa présence dans la douce et complice atmosphére printanière me remémora les temps heureux passés avec mes copains " des Mines " prés de la rivière en compagnie de jeunes filles presque sages
qui nous paraissaient plus belles et attirantes que des princesses .
Je parlai de ces souvenirs à mon amie qui , à l'évocation du gour de Soyons , s'extasia ; elle me dit qu'elle appréciait énormément cet endroit pour y avoir passé quelques joyeux étés de son adolescence...
Le lendemain aux aurores je pris à vélo la direction de Tourtoin ; j'avalai avec frénésie la ligne droite des Mines puis je bifurquai vers Saint Priest ...
Aprés deux cents métres je pris le chemin escarpé menant à la rivière , je descendis sur les cailloux roulants cachés dans les genêts 
et les buissons , je passai en me courbant sous les ramures d'arbustes épineux surplombant la rivière et je bondis enfin sur la roche qui me fut si familière ...
je me trouvai à nouveau sur le lieu de mes émotions et de mes espoirs passés , j'étais de retour sur le bord de ma rivière ...
Les souvenirs de mes seize ans me revinrent alors ; ils m'apparurent portés par des
rayons de soleil venant de mon passé ... 
Ces traits de lumière aprés avoir volé toutes les couleurs de l'arc en ciel auprés des fleurs dans les prés et les vignes alentour déposèrent les images de ma jeunesse heureuse sur le rocher . Ravivés par les palpitations de mon coeur ces tableaux du passé s'animèrent et se mirent à voleter comme des éphéméres sur les ruisselets qui s'éparpillent au gré du relief de la roche ...
C'est ici , qu'étendue sur des serviettes usées par plusieurs étés de baignades et de siestes , notre bande d'adolescents des sixties se grisait de rêves et d'actions futures ; ces projets juvéniles toujours commentés à voix haute restent certainement dans la mémoire des frênes et des bouleaux qui furent nos auditeurs patients et immobiles du moins jusqu'en fin d'aprés - midi quand la brise les aidait à exprimer leur enthousiasme ou leur désapprobation en agissant plus ou moins fort leurs branches les plus légères . Ces arbres , plus que centenaires , gardiens débonnaires du Paradis ont-ils reconnu dans ce sexagénaire que je suis devenu le Robin des bois
agile qui leur volait quelques branches pour en faire un arc et des flêches ? je n'en suis pas sûr ... par contre , en me faisant glisser alors que je tentai la traversée en chaussures du cours d'eau , la vase verdâtre a voulu à n'en pas douter se venger de celui qui la faisait avec zéle disparaître afin que " sa rivière " soit la plus limpide du monde .
Ainsi , aprés plus de quarante ans passés loin du lieu parcouru par ma trépidante jeunesse entre les gours de Fraysse et de Soyons j'ai remonté ce temps qui m'avait fait tout oublier ; je suis revenu par la pensée prés de ceux avec qui j'ai aimé cette rivière ; ce furent mes copains , mes amourettes , mes parents ; vais-je aller encore plus loin en ouvrant complètement 
avec fébrilité et probablement maladresse comme un enfant défait un paquet - cadeau de Noël qu'il avait égaré et ne pensait plus retrouver ?
Jean - Paul , été 2001
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Creedence clearwater revival
" Have you ever seen the rain "
v
Privas
notre si beau village
21 Décembre 2001
Création du Cercle des Elèves et Professeurs retrouvés
des écoles publiques de Privas dans l'ancienne salle d'étude
du Bahut de Privas
Le Président de l'Association Monsieur Jean - Paul Perrier fait le discours d'inauguration entouré par : ,
Inconnu , la Trésorière adjointe Madame Dorne , le Trésorier Monsieur Gilbert Chanut , la Secrétaire Madame Nicole Clauzel et le Secrétaire adjoint Monsieur Alain Margirier .
Au premier rang les Présidents d'honneur Messieurs Maurice Bresson Professeur de littérature et René Violette Professeur agrégé de Philosophie
Le Nando
" Le Collègien "
Les chemins de leurs Ecoles
Les lilas
et
les roses
vRéalisation Jean - Paul Perrier
O mois des floraisons mois des métamorphoses
Mai qui fut sans nuage et Juin poignardé
Je n'oublierai jamais les lilas ni les roses
Ni ceux que le printemps dans les plis a gardés
Je n'oublierai jamais l'illusion tragique
Le cortège les cris la foule et le soleil
Les chars chargés d'amour les dons de la Belgique
L'air qui tremble et la route à ce bourdon d'abeilles
Le triomphe imprudent qui prime la querelle
Le sang que préfigure en carmin le baiser
Et ceux qui vont mourir debout dans les tourelles
Entourés de lilas par un peuple grisé
Je n'oublierai jamais les jardins de la France
Semblables aux missels des siècles disparus
Ni le trouble des soirs l'énigme du silence
Les roses tout le long du chemin parcouru
Le démenti des fleurs au vent de la panique
Les soldats qui passaient sur l'aile de la peur
Aux vélos délirants aux canons ironiques
Au pitoyable accoutrement des faux campeurs
Mais je ne sais pourquoi ce tourbillon d'images
Me ramène toujours au même point d'arrêt
A Sainte-Marthe Un général De noirs ramages
Une villa normande au bord de la forêt
Tout se tait L'ennemi dans l'ombre se repose
On nous a dit ce soir que Paris s'est rendu
Je n'oublierai jamais les lilas ni les roses
Et ni les deux amours que nous avons perdus
Bouquets du premier jour lilas lilas des Flandres
Douceur de l'ombre dont la mort farde les joues
Et vous bouquets de la retraite roses tendres
Couleur de l'incendie au loin roses d'Anjou
....................
Les lilas
et
les roses
Stalingrad
vv
v
Mon Ecosse , Mon pays
...........................................
..
Le mur d'Adrien
Edinburgh the beautiful
v
Mes routes à vélo autour d'Aubenas , du Tanargues et de Privas
Creedence clearwater revival
1976
2021
V
Monsieur Paul Eluard
" J'écris ton nom " Liberte " "
Le Cercle de nos Ecoles
" Vincent d'Indy " la place des privadois
Trois compères du Cercle sur le banc de la sagesse
22 juin 1944
L'offensive Bagration brise la Wehrmacht
Trois ans jour pour jour après l’opération allemande Barbarossa, Staline tient sa revanche. Tandis que les Alliés sont en Normandie, il défait la Wehrmacht en Biélorussie.
Cette offensive soviétique, baptisée Bagration, dure jusqu’au 29 août 1944 et incarne le tournant de la guerre. Elle pulvérise en deux mois les derniers points d’ancrage de la Wehrmacht sur le front de l’Est. C'est, après Stalingrad et Koursk, l'une des plus importantes victoires de l'URSS.
Elle est pourtant encore oubliée car on lui préfère le débarquement de Normandie, qu’elle a considérablement aidé. Coup de projecteur sur la dernière grande bataille de la Seconde Guerre mondiale...
Charlotte Chaulin
Roza Shanina
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" Il va falloir le comprendre vite Messieurs , trés vite"
Madame Ana Ivanovic championne de Roland Garros
"Et si on faisait un jeux Messieurs ?
Pas plus ce sera suffisant pour que vous compreniez enfin ."
" Le poéte a toujours raison "
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Le chemin de nos écoles
Les routes si belles de l'Ardèche
La montée du col de l'Escrinet
" Georgia on my mind "
Mon Ecosse mon pays
Arthur's seat Edinburgh
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New Zealand
What beautiful country
Les hussards noirs de la République
......................................................
Monsieur Charles Péguy
Charles Péguy évoque ci - dessous les normaliens , les " hussards noirs " , qui viennent dans sa classe de l'Ecole Annexe de l'Ecole Normale d'instituteurs d'Orléans qu'il fréquenta en 1879 agé de six ans . Le terme de " Hussards noirs de la République " sera souvent repris par Péguy et deviendra une formule emblèmatique maintes fois réutilisée .
" De jeunes maîtres de l'Ecole Normale venaient chaque semaine nous faire l'Ecole . Parlons bien : ils venaient nous faire la classe . Ils étaient comme les jeunes Bara de la République . Ils étaient toujours préts à crier : " Vive la République , vive la Nation " . Nos jeunes maîtres étaient beaux comme des hussards noirs . "
..........................................................................
v
v
Les hirondelles de la nuit
" Les Premières 1960 "
Monsieur Francis d'Abrigeon
d'Aubenas
élève du Bahut
vous présente
Au bon temps du Collège classique
de Privas
Messieurs les Professeurs
V
Sur la place Victor Hugo
Le Garde voulait il verbaliser monsieur le Principal du Collège ou réprimander les élèves ?
Les mamans ne semblaient pas trop inquiètes ...
et
MES VOYAGES
EXTRAORDINAIRES
Dans la cour du Cours complèmentaire
" Le temps du bonheur "
Messieurs
Au balcon : Vialle , Noharet , Amblard , Godet , Croze , Deval , Bernard , Fraisse , Silhol
A l'étage : Mounier , Derlougnian , Fourniol , Alissas , Bouix , Bourrel , Estéoule , Bouchet , Chanut , Perrier , Rieu
Au rez de chaussée : Clair , Curinier , Bouvier , Oriol , Jounel , Mouton , Ruffié , Morand , Feschet , Vialle
A la cave : Bon , Astier , Berthaut , Bascou , Prin , Lopez , Comboroure , Pernet , Michel
Les élèves du Bahut au Montoulon 
Photo Monsieur Jean Oisel
Le plus grand match de rugby de l'Histoire ?
Jonha Lomu
The ultimate rugby player
Le plus grand joueur de rugby de l'Histoire
........................................................ .
New Zealand team
Le Quinze d'Angleterre
Merci pour votre lecture de notre site
mais ce n'est qu'un au revoir
" Auld lang syne "
" Ce n'est qu'un aurevoir mes frères "
..................
LE CHEMIN DE MES ECOLES LES LILAS ET LES ROSES LE TEMPS DES CERISES MON ECOSSE MON PAYS ET AU MILIEU COULE MA RIVIERE LES HIRONDELLES DE LA NUIT LA CONQUETE DE L'OUESTL'ANNEXE DE LA RECLUSEL'ANNEXE DE BESIGNOLEL'ECOLE DE LANCELOTL'ECOLE DU CHAMP DE MARSL'ECOLE DU MONTOULONL'ECOLE DE PASTELE COLLEGE MODERNEL'ECOLE NORMALE DE FILLESLE COLLEGE CLASSIQUELE COURS COMPLEMENTAIREL'ECOLE NORMALE DE GARCONSMONSIEUR JEAN PALMEROLA " BELLE EQUIPE " DE L'E.NMONSIEUR JEAN OISELSI LE BAHUT M'ETAIT CONTEBAHUT EXPO 2005LYCEE VINCENT D'INDYLA BATAILLE D'ANGLETERRELA BATAILLE DE STALINGRADLE PALAIS SANS PAREILRIVERDANCE LA BELLE IRLANDEDEBOUTS LES PARPAILLOTS !!!D'ABRIGEON "MY TRAVELS"A FRENCH EXPLAINSTHE CRICKET!!LE PALAIS SANS PAREILLES CHEMINS DE LEURS ECOLESLOUIS NEEL DU BAHUT PRIX NOBELMON ECOSSE SUITEANNE BOYLEN THE QUEEN FOR EVERMARY STEWART REINE D'ECOSSETHAT'S SCOTLAND !!!WELCOME TO EDINBURGHSIR WINSTON CHURCHILLMADAME TERRISSE D'ANTRAIGUESANTRAIGUES TOUJOURS LA BELLE ?EMMANUEL COMTE D'ANTRAIGUESBERNARD MAIRE D'ANTRAIGUESANTRAIGUES LA REMISEJEANNOT D'ANTRAIGUESPAUL MAZADE D'ANTRAIGUESMONSIEUR ROGER CROUZETMONSIEUR STEPHAN HESSELMONSIEUR JEAN TIRMANMONSIEUR RENE VIOLETTEMONSIEUR FERNAND BOURRETMONSIEUR DOMEYSELMONSIEUR GUY SEGOLMONSIEUR ROBERT MONCLARMONSIEUR CHRISTIAN ORJASMONSIEUR JACQUES CHAMPANHETLE BLOCKHAUS DE LA GARE PRIVASLES ABEILLES DE ROCHESSAUVELES MASSACRES AMERICAINSDOCTEUR VON BRAUN SA VRAIE FACL'AUBERGE DE PEYREBEILLEDE LA TERRE A LA LUNEJAMBOREE CROUZET MONCLARLES HONTES AMERICAINESMONSIEUR PAUL ELUARDMONSIEURALAIN COSTE DES MINES2001 MONTEE DU MOULIN A VENTLES VIKINGSLA BRÜLURE DE L'HISTOIRELES ABEILLES DE ROCHESSAUVEANTRAIGUES SUR VOLANEPRIVAS LA VOIE VERTEA L'ENCRE VIOLETTE LE VELOMONSIEUR RENE PRIVATTHE BRITISH AND IRISH LIONSTHE BRITISH AND IRISH LIONSLE QUINZE D'ECOSSELE RUGBY LE SPORT ROILE SPORT ROI NOTRE RUGBYLE QUINZE DE FRANCENOTRE RUGBYBRITISH AND IRISH RUGBY LIONSLE PLUS GRAND MATCH DE L'HISTOLES ALL BLACKSLE QUINZE D'ECOSSELE QUINZE DE GALLESLES WALLABIESLE QUINZE DE LA ROSELE QUINZE DE FRANCELE QUINZE D'IRLANDELE QUINZE DES SPRINGBOCKSRESERVENEW SITEPRIVAS PRIVASLA GUERRE D'ESPAGNEL'INDEPENDANCE DE L'IRLANDELE CERCLE PAGE D'ACCUEILPRIVAS MARECHAL NOUS VOILA!PRIVAS D'AVANT ET D'AUJOURDHUICHRISTIAN ORJAS
" Nonsuch Palace " and Hampton Court Palace
Based on an idea by Joanna Copping his friend
Henry, the second son of King Henry VII and Elizabeth of York, was born on 28 June 1491 at Greenwich Palace. After the death of his elder brother Arthur in 1502, Henry became heir to the English throne.
In 1521 Pope Leo X conferred the title of Defender of the Faith on Henry for his book 'Assertio Septem Sacramentorum', which affirmed the supremacy of the Pope in the face of the reforming ideals of the German theologian, Martin Luther.
Military might
Henry VIII's early military campaigns began when he joined Pope Julius II's Holy League against France in 1511. Wolsey proved himself to be an outstanding minister in his organisation of the first French campaign and while the Scots saw this war as an opportunity to invade England, they were defeated at Flodden in 1513. However war with France ultimately proved expensive and unsuccessful.
Henry VIII is known as the 'father of the Royal Navy.' When he became king there were five royal warships. By his death he had built up a navy of around 50 ships. He refitted several vessels with the latest guns including the Mary Rose, which sank in 1545.
Henry also built the first naval dock in Britain at Portsmouth and in 1546 he established the Navy Board. This set up the administrative machinery for the control of the fleet.
A male heir
Henry was acutely aware of the importance of securing a male heir during his reign. He was worried that he had only one surviving child, Mary, to show for his marriage to Catherine, who was now in her 40s. So the king asked Cardinal Wolsey to appeal to Pope Clement VII for an annulment and it soon became clear he wanted to marry Anne Boleyn, who had been a lady-in-waiting to his first wife.
But, unwilling to anger Catherine of Aragon's nephew – the most powerful ruler in Europe, the Holy Roman Emperor Charles V – the Pope refused. Thomas Wolsey's ascendancy was cut short by this failure.
In 1533, Henry VIII broke with the church and married the now pregnant Anne Boleyn in a secret ceremony. Henry was excommunicated by the Pope. The English reformation had begun.
Head of the Church
After Wolsey's downfall, Thomas Cromwell became Henry's chief minister and earned the confidence of the King by helping him to break with Rome and establish Henry VIII as head of the Church of England. This act also brought him much needed wealth through the dissolution of the well-funded monasteries. Over four years Cromwell ordered that 800 monasteries be disbanded and their lands and treasures taken for the crown.
The cultural and social impact was significant, as much of the land was sold to the gentry and churches and monasteries were gutted and destroyed. Henry's personal religious beliefs remained Catholic, despite the growing number of people at court and in the nation who had adopted Protestantism.
Anne Boleyn
In September 1533 Anne gave birth to a daughter, Elizabeth (the future Queen Elizabeth I). Henry had grown tired of her, and after two further pregnancies ended in miscarriages, she was arrested in 1536 on trumped up charges of adultery and publicly beheaded at the Tower of London.
Henry's third marriage, this time to lady-in-waiting, Jane Seymour, finally produced the son he so desperately desired with the birth of Edward in 1537. Jane Seymour died after childbirth and Henry ordered that she be granted a queen's funeral.
In an attempt to establish ties with the German Protestant alliance, Thomas Cromwell arranged a marriage between the king and German princess Anne of Cleves. The marriage was a disaster and Henry divorced Anne a few months later. Henry blamed Cromwell for this mismatch and soon afterwards had him executed for treason.
Final Years
The final years of his reign witnessed Henry VIII's physical decline and an increasing desire to appear all-powerful. Henry continued with fruitless and expensive campaigns against Scotland and France.
In 1540, the aging King married the teenage Catherine Howard. Their marriage was short lived. It was alleged that she had a previous relationship with Henry's courtier Francis Dereham and an affair with another courtier Thomas Culpeper. Catherine was executed for adultery and treason in 1542.
Henry's final marriage to Catherine Parr, who acted like a nurse, was more harmonious and she would go on to outlive him.
Henry VIII died on 28 January 1547 and was succeeded by his son, Edward VI. He was buried next to Jane Seymour in St. George's Chapel at Windsor Castle.
En 1501 Arthur l'héritier de la couronne d'Angleterre épouse Katherine d'Aragon infante d'Espagne
In 1501 Arthur marries Katherine d'Aragon daughter of king of Spain .
Catherine d'Aragon
C'elle - ci en plus d'étre belle et intelligente est pourvue d'une dot fort importante . Mais le prince héritier a une mauvaise constitution et meurt quelques mois aprés l'union . En 1502 Henri devient l'héritier du trône d'Angleterre et un parti trés convoité , grand , athlétique , il a la réputation d'étre " le plus beau prince de l'Europe "
Besides to be beautiful and intelligent she is provided with a very important dowry . But the crown prince has a bad constitution and dies a few months after the union . In 1502 Henri becomes the heir of the throne of England and of this fact a very desired party ; tall , athletic , he has the reputation to be the " most beautiful prince of Europe " .
Marié à sa belle soeur
Married to his sister in law
La veuve reste un parti intéressant . Le roi d'Angleterre n'entend pas rendre Katherine à son père et encore moins sa dot . Il propose donc de donner la jeune veuve à Henri . Pour que le mariage soit possible il faut vérifier que la première union n'a pas été consommée , sauf dispense papale . Ni une ni deux , le pontife Jules II accorde la dispense de constatation de virginité .
A 19 ans , Henri trés amoureux , épouse Catherine de six ans son ainée , la première de ses six femmes .
The widow remains an interesting party . King of England does not intend to return Katherine to his father and even less her dowry . He thus suggests giving the young widow to Henri . So that the marriage is possible it is necessary to verify the first union was not consumed , except papal exemption . Neither one nor two , the pontiff Jules II grants the exemption of observation of virginity .
At the age of 19 , very loving Henri , marries Katherine of six years his elder , the first one of his six spouses .
Pour voir la vie de chacune des six épouses d'Henri VIII cliquez sur leur nom en haut de la page à gauche
To see life of each spouse of Henri VIII click on her name at the top of the page on the left
Prince Henri at the bedside of his father King
Young Prince Henri
First historical wrestling competition
England versus France
Camp du Drap d'Or
The field of the clothe of gold
1 Henry VIII
This text comes from my textbook for Hodder and Stoughton (2000), written for less-able readers. It summarises the reign in a few lines.
Henry VIII Henry became king in 1509. He wanted to be a great and memorable king.
He built 50 warships – in 1512 the biggest warship, called the Great Harry, was built. In 1513, the English army crushed the Scots army at Flodden. Also in 1513, Henry went to fight in France, but he could not defeat the French army.
In 1520, Henry met the King of France. Henry wanted to look good. He took 4,000 people with him. They ate from plates of gold! The meeting place was called 'The Field of the Cloth of Gold'.
In 1533, Henry said that HE was the Head of the Church in England. And in 1536, he used his new power to close the monasteries down, and took their land and money.
But Henry 'dipped his hand in blood'. In 1536, he hanged hundreds of people who protested about the monasteries. In 1536, his second wife, Anne Boleyn, had her head chopped off because she could not have a son, and in 1542 he executed his fifth wife, Catherine Howard, when she slept with other men.
Henry VIII became the richest king in the world and he made England very powerful. In 1536 Wales became part of England. And in 1541 Henry made himself King of Ireland.
People did as the king said – because they were afraid of him, or because they loved him. In 1537, Jane Seymour, Henry's third wife, gave him a son. And when Henry died in 1547, NO ONE rebelled when the new king Edward VI came to the throne, even though he was only a nine-year-old boy.
'A wonderful man,' wrote the French ambassador.
Du 7 au 24 Juin 1520 prés de Calais entre Andres et Guines se tint la rencontre entre François I et Henri VIII
Duuring eveningHenri teased the french king and suggested him making a wrestling match . François who was very physically and had learnt the breton wrestling accepted with a smile and did not have pain to senf Henri to the ground ...
Art: The Field of Cloth of Gold
I've had this spectacular event in my head lately, probably due to watching and reviewing Episode Two of 'The Tudors,' as well as it coming into last week's poll. I mentioned in that post that I love the painting, Field of Cloth of Gold and have decided to "art" it for you today.
Henri thrown on the bottom by François ... what shame !!!
An historian will say later : " It was easier to brave king of England to send his defenseless spouses towards the ax of the executioner than to overcome in the regular way king of France " ...
OVERLEAF 82
Obama meets PM. Sarkozy meets PM. Medvedev meets PM. Wen meets PM. Cameron already met PM. That makes all five heads of permanent Security Council states guests of India within a year. Good thing we did some housecleaning for the Commonwealth Games.
Historically, this is very unusual. Before modern times, rulers rarely ever met except in victory and defeat. Humayun met the Shah of Persia, but only after Sher Shah Suri had snatched his kingdom. Alexander met Porus, rajas and sultans regularly met their usurpers, the British King-Emperor received his subject Indian princes…
A ruler did not leave his realm except to enlarge it, or when he had no choice. Poor John VIII Palaiologos, the 15th-century Byzantine emperor who ruled over not much more than his capital city — he had to tour the European courts to beg for military aid against the Turks. None came, but on the other hand his visit did expose the Europeans to Greek culture and learning (and books), and therefore he helped trigger the Renaissance.
Nothing as enlightened will ensue from this sequence of imperial visits to Delhi. But they are still governed by an ancient, semi-martial script. As in the old days, where the master goes the imperial household and bodyguards follow.
Here comes Barack Obama, in effect to enlarge his realm. He brings with him 1,600 staff.* His people will take over the Taj Mahal Hotel in Mumbai, and the Taj Palace Hotel in Delhi. The Maurya’s “Grand Presidential Floor”, where Obama will pitch his camp, according to the glossy PR brochure “instills awe and imparts a sense of divine kingship”.
What is all this but a 2010 version of the imperial Mughal tent city, the one that housed the padshah and his court whenever he travelled outside the cities?
Or, for a nearer parallel, the meeting of Henry VIII of England and Francis I of France in 1520, at the Field of the Cloth of Gold. Henry still held Calais on the French side of the Channel, so he and Francis shared a land border.
The Field was a shallow valley between the last English town (Guisnes) and the last French town (Ardres). The whole area was prepared and decorated at stupendous expense, down to landscaping so that each king’s pavilion would be at an equal elevation. The local housing stock would not accommodate the armies of nobles, soldiers, officials, servants and camp followers. So the plain was dotted with thousands of tents, some very grand indeed — so grand that all that expensive “cloth of gold” gave the place its name.
For Henry a temporary palace was erected. Here is how the contemporary Englishman, and possibly eyewitness, Edward Hall describes it in his entertaining and detailed Chronicle. It was, Hall writes, “the most noble and royall lodgyng before seen, for it was a palays”. The palace was actually an immense square tent, 328 feet on each side and over 30 feet tall. The canvas sides were painted to resemble stone, the canvas roof to mimic slate.
Inside, Hall recounts scrupulously, were “all houses of offices that to such an honourable court should apperteigne, that is to wete, the lorde Chamberlain, lorde Steward, lorde Thresourer of the household, for the comptroller and office of grene cloth, wardroppes, juell house, and office of houshold service, as ewery, pantrie, seller [cellar], buttery, spicery, pitcher house, larder, and poultrie, and all other offices so large and faire that the officers might and did marueieles [marvel]…”
Not much has changed! The Grand Presidential Floor has its own security control room, microbiological food testing lab, round-the-clock room service — more or less everything a modern court needs.
Hall’s Chronicle tells the reader a lot of things. Among the facts, he lists precisely who was entitled to attend what event, what the exact order of precedence was, how the events were set up and what they cost.
Two things Hall does not say. One, anything about the delightful story that Francis bested Henry in a quick bout of wrestling. Two, that the summit had no lasting effect. The friendliness evaporated very quickly, and two years later England and France were at war — again.
Moral of the story: from imperial summitry, expect only modest progress.
*Various figures have been reported. This is not the highest.
. " Bonne lecture 
du Site "
Jo and Jee Pee
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ème visiteur
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