Michael , Joanna and Jean - Paul
said to you
" Welcome to Edinburgh "
The town From Arthur's seat
Edinburgh Castle - Le château d'Edimbourg
Coiffant le noyau granitique d'un ancien volcan, le plus fréquenté des sites touristiques écossais domine la cité d'Edimbourg depuis le XIe siècle. Occupé tantôt par les anglais, tantôt par les écossais, le château d'Edimbourg a servi de palais royal puis de forteresse militaire jusqu'au XXè siècle. Le site devrait son nom au roi de la Northumbria, Edwin, qui y édifia un fort au VIè siècle. A la fin du XIè siècle, cette forteresse devient le siège de la cour de Malcolm III et de la reine Margaret. Occupé par les anglais, le château est repris en 1313 par le comte de Moray, qui escalade avec son commando la face sud réputée inaccessible. Robert Bruce fera ensuite démanteler les fortifications afin de les rendre inutilisables par ses ennemis. Peine perdue, puisque l'histoire du château d'Edimbourg sera ensuite faire de conquêtes et de reconquêtes. Ainsi en 1573, la reine Elizabeth d'Angleterre enverra 2000 hommes armés de canons qui pilonneront pendant 10 jours la forteresse. Les principaux bâtiments s'effondreront alors sous le feu continu de l'ennemi juré. Le défenseur du château se rend le 29 mai de cette même année, mais sera décapité malgré les promesses des anglais qui lui promettaient la vie sauve en cas de reddition.
Au XVIIè siècle le château d'Edimbourg sera attaqué trois fois, notamment par Cromwell. Ses troupes assiègent la forteresse, mais la garnison l'attend de pied ferme. Cromwell décide alors de détruire complètement le site, et le 7 septembre 1650, les artificiers anglais se mettent au travail. Les tirs de mortiers complètent le minage et Dundass, défenseur du château se rend à son vainqueur. Après l'union des parlements en 1707, les joyaux de la couronne (regalia) sont enfermés dans le palais. C'est Sir Walter Scott qui les retrouvera en 1818 cachés dans un coffre dans une pièce vérouillée du château En effet ils avaient disparus depuis 1707. La salle de la couronne abrite également la légendaire Pierre de la destinée, bloc de grès que Kennett MacAlpin installa en 838 dans son palais de Scone et sur laquelle tous les rois d'Ecosse furent couronnés jusqu'à la fin du XIIIè siècle.
Le château d'Edimbourg est aujourd'hui le quartier général du régiment des Royal Scots, mais il est aussi très connu pour sa grande parade du Military Tattoo (pa militaire) qui a lieu chaque année en août. A 13 h chaque jour (excepté le dimanche) vous entendrez le traditionnel coup de canon. Cette tradition remonte à 1860, ce coup de canon permettant aux marins s'engageant dans le Firth of Forth de vérifier si leurs montres étaient bien à l'heure, afin de ne pas se tromper sur les marées. A découvrir particulièrement : Governor's house construit en 1742 et abritant le mess des officiers de la garnison, le Great Hall ou le parlement écossais se réunit jusqu'en 1639 dans cette salle du XVè siècle, la chapelle St Margaret's Chapel le plus ancien bâtiment du château et le palais où Marie Stuart mit au monde Jacques VI.
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Le parc d'Edinbourg
Cyril et Valérie en admiration
Bonjour à la France du parc d'Edimbourg la Belle , Jennifer .
VV
Le Fringe du Festival
( Le festival en marge de l'officiel , dans les rues et sur les places )
V
La paroisse Saint Cuthbert
Sortons du parc et prenons à droite Princes street
Nous voici devant l'entrée du palais d' Holyrood
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Le palais de Holyrood (Holyrood Palace est le nom anglais. En scots, Haly ruid signifie « Sainte croix ») se situe à Édimbourg en Écosse, dans le bas du Royal Mile, l’artère principale qui relie le palais de Holyrood au château d'Édimbourg.
C'est à l’origine un monastère fondé par le roi d'Écosse, David Ier en 1128. Il a servi comme résidence principale des rois et reines d’Écosse depuis le XVe siècle ainsi qu'à la reine Élisabeth II lors de ses séjours en Écoss
L’abbaye
L’abbaye de l’ordre de Saint Augustin a été construite en 1128 à la demande du roi David Ier d'Écosse. La légende veut que David ait été attaqué par un cerf alors qu’il chassait, et dans un geste défensif, prenant le cerf par les bois, s’aperçut qu’il tenait un crucifix avant qu'il ne s’échappe. C’est pour montrer sa reconnaissance envers Dieu que David aurait fondé l’abbaye à cet endroit.
L’abbaye a été le lieu de nombreuses cérémonies royales, que ce soit des mariages ou des funérailles.
L’abbaye a été adaptée pour devenir une chapelle de l’Ordre du Chardon par Jacques VII d'Écosse, mais elle a été par la suite ravagée lors d'une émeute. En 1691, l’église de Canongate (Kirk of the Canongate) remplaça l’abbaye en tant qu’église paroissiale, où la reine assiste toujours aux offices religieux lorsqu’elle réside au palais de Holyrood.
Le toit de l’abbaye s’est écroulé au XVIIIe. L'édifice, resté en l’état, n'est plus qu'une ruine aujourd’hui.
Le palais
Au XVe siècle, une maison d'hôtes occupait le site, à l’emplacement actuel de la partie nord du palais. De nombreux rois d’Écosse ont séjourné ici, avant la construction du palais ; à la fin du XVe siècle Holyrood n’était une résidence royale que de nom. Jacques y est né en 1430, y a été couronné, s’y est marié et y est enterré. Entre 1498 et 1501, Jacques IV fit construire un nouveau bâtiment et Holyrood devint un palais au vrai sens du terme.
Le palais fut construit autour d’une cour carrée, à l’ouest du cloître de l’abbaye. À l’intérieur du palais se trouvaient entre autres une chapelle, les appartements royaux et une grande salle. La chapelle occupait la partie nord de la cour carrée, alors que les appartements de la reine se trouvaient dans l’aile sud. La partie ouest abritait les appartements du roi et l’entrée d
u palais.
Jacques V d'Écosse fit des ajouts entre 1528 et 1536, dont la tour nord-ouest, toujours visible. C’est dans cette tour que sont les appartements qu'occupa Marie Stuart.
Marie Stuart Reine d'Ecosse et de France à Holyrood
Le plafond en bois des pièces principales sont de l'époque de Marie Stuart et les monogrammes MR (Maria Regina) et IR (Jacobus rex) font référence à Marie et son fils, Jacques VI d'Écosse. Les boucliers commémorant le mariage de Marie Stuart et du roi de France François II auraient été taillés en 1559, mais mis à leur place actuelle en 1617. Les appartements contiennent une chambre d’audience et la chambre de la reine, de laquelle on accède à deux pièces dans la tourelle. C’est dans la chambre nord que le eu lieu le meurtre de David Rizzio (le secrétaire particulier de Marie Stuart) en présence de Marie. Le corps fut laissé à même le sol pendant neuf jours, rendant les traces de sang toujours visibles.
Une fois Jacques VI devenu roi d’Écosse et d’Angleterre en 1603, le palais ne fut plus le siège permanent de la cour royale. Jacques VI se rendit au palais encore une fois en 1617, comme Charles Ier quand il vint se faire couronner roi d’Écosse à l’abbaye de Holyrood.
En 1650, le palais fut brûlé lorsque les troupes d'Oliver Cromwell y logèrent. La forme actuelle du palais date de 1671 et 1679, période de travaux entrepris par Charles II et William Bruce.
Après la Révolution française, George III permit au plus jeune frère de Louis XVI, le comte d’Artois, de vivre à Holyrood. La famille royale française reviendra au palais lors de son second exil, de 1830 à 1832, avant de s’installer en Autriche.
Dans les temps modernes, les monarques britanniques ont toujours passé au moins une semaine par an au palais. La reine Élisabeth II l’utilise toujours lorsqu’elle est en visite en Écosse pour des affaires d’État.
Le rôle du palais s’est accru depuis l’ouverture du parlement écossais en 1999, et de multiples membres de la famille royale, dont Charles, prince de Galles, ou la Princesse Anne, y séjournent régulièrement. Il a été suggéré qu’un membre de la famille royale soit accueilli à plein temps au palais afin de représenter la reine (on a souhaité que ce soit la Princesse Anne, qui possède de fortes relations avec l’Écosse).
La reine Élisabeth II rencontre le premier ministre d’Écosse à Holyrood. Pendant la présidence britannique de l’Union européenne, une réunion du Conseil européen s’y est déroulée.
Le palais est ouvert au public pendant les périodes de non résidence de la reine ou d’un membre de la famille royale.
Le parlement écossais est situé de l’autre côté de la rue, face au palais
Arthur 's seat
Arthur's Seat, toponyme anglais signifiant en français « le siège d'Arthur », est une colline de 251 mètres d'altitude, point culminant de Holyrood Park, située dans le centre de la ville d'Édimbourg en Écosse. Elle tient une place particulièrement importante dans les légendes locales
En raison notamment du poème Y Gododdin, il est fréquemment suggéré que son nom serait dérivé d'une myriade de légendes concernant le roi Arthur. Il n'existe aucun nom traditionnel gaélique mais William Maitland estime que le nom serait dérivé d'Àrd-na-Said signifiant « hauteur de flèches », via peut-être Archer's Seat, en référence au fait que la colline était un point de défense militaire au Moyen Âge. John Milne propose pour sa part l'étymologie Àrd-thir Suidhe, c'est-à-dire « endroit surélevé »
Vue panoramique depuis son sommet
Château d'Edimbourg
Sword dance et Military Tatoo
Cliquez sur la photo ci - dessous
Christmas en famille
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Entrons dans
Princes street gardens avec vue sur le castle
Les racines de Hogmanay remontent peut-être aux fêtes païennes du solstice d'hiver parmi les scandinaves, incorporant les coutumes de la célébration gaélique du nouvel an, Samhain. En Europe, elles étaient devenues les fêtes des Saturnales, un évènement festif romain de l'hiver : les gens les fêtaient complètement libres et sans complexes. Les vikings fêtaient Yule, qui contribua plus tard aux douze jours de Noël, ou Daft Days (« jours stupides ») comme ils étaient parfois appelés en Écosse. Les festivités de l'hiver devinrent clandestines avec la Réforme, mais furent tolérées à la fin du XVIIe siècle.
L'étymologie précise du terme « Hogmanay » n'est pas documentée. Il désigne autant le dernier jour de l'année que l'oatcak offert aux enfants qui autrefois patrouillaient les rues ce soir-là en criant Hogmanay !. Ce sens et ces utilisations le rapprochent du français aguillanneuf (une corruption probable du latin Kalendae); le terme norrois hoguinané paraît toutefois plus proche. Le mot castillan aguinaldo, proche phonétiquement, désigne par ailleurs les cadeaux de Noël.
Hersart de la Villemarqué explique dans le "Barzaz Breiz" le mot de l'ouest de la France "aguillaneuf" (limousin "guillaneu", normand "aguignette"), dont le français a fait "Au gui, l'an neuf!", par le celtique "eginane" (gallois "eginad", gaélique "eigean") qui signifie "étrennes". Cette étymologie celtique explique qu'on retrouve le mot aussi bien en Espagne qu'en Écosse. Il est plus probable que le norrois "hoginane" vienne, comme les mots de la religion et ceux des coutumes et fêtes religieuses, du continent que l'inverse.
Le vicomte de la Villemarqué propose de rapprocher le mot de la racine celtique "eg" qui signifie "germe" mais il est plus pausible d'y voir le suffixe celtique "he" (vieux breton "ho-", gaulois "su-, sanscrit "sv-") qui désigne un sens favorable, la faveur des dieux, et une racine "cin" (gallois "cen" d'où "cenedl" i.e. "clan, lignée" et cornique "kinethel" i.e. "génération"[5]) issu du gaulois "icnos" (latin "gnatus") qui signifie "descendance". Ainsi, souhaiter l'aguillaneuf ou hogmanay, c'est former un vœu de bonne descendance, de prospérité. Le nom même renvoie directement à la divinité irlandaise Oengus.
Scotland for ever
Commentaires
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- 1. yves Prigeat Le 30/04/2021
Incredible but true !!!
Yves
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